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Clique ici pour la musique d'ambianceOu iciDéveloppement toujours en coursRoleplay [ON] !Samedi 12 octobre - 26 octobre 1957Partenariat ouvert
A savoir
#Le forum ouvre ses portes et le Staff termine le développement ! Bon jeu à tous !
#Merci à N-U pour l'aide apportée à l'esthétique du forum.
#Membres du Staff : Isaac, Lloyd
Contexte
Arkham.
Une ville mystérieuse s'il en est.
En tout cas c'est ce que vous diront nombre d'habitants du Massachusetts qui évitent la ville et ses alentours.
Cela vient peut-être du fait que les deux institutions les plus renommées de la ville soient son asile psychiatrique et l'Université Miskatonic, dont la réputation s'est faite sur la singularité des cursus d'études proposés, comme par exemple l'étude de l'influence des sciences occultes sur le monde.
Mais si vous demandez à un habitant, il vous répondra qu'Arkham est des plus normales, et que les racontards à l'origine des rumeurs qui ternissent son image ne sont que de simples jaloux.
Enfin, c'est-ce qu'ils auraient dit jusqu'à il y a quelques jours. En effet, depuis le lancement de la mission Spoutnik 1 le 4 octobre 1957, une étrange atmosphère règne sur la ville, mais pas seulement.
Vous vous réveillez en sueur, paniqué, durant la nuit du 12 octobre 1957, votre paisible sommeil interrompu par un terrible cauchemar.
Cependant, ce dernier n'était pas comme les autres, tout semblait si réel alors qu'il y avait créatures ailées, monstres sous-marin et démons venus d'outre-monde. Mais le plus terrifiant restait cette voix d'origine inconnue, qui résonnait et résonne encore dans votre tête, elle parlait de destin funeste aux sources incompréhensibles et de magie noire. Elle murmurait, chuchotait et susurrait à votre oreille avec un ton si malsain que chaque mot provoquait inquiétude et dégoût. Les paroles abstruses mettaient en évidence quelque chose bien en particulier, un signe, un don, une marque à la couleur de l'ambre et qui, de part son illumination dorée, était capable de vous donner des pouvoirs surnaturels et de changer le monde.
A votre réveil, vous espérez que tout cela n'était que pure imagination, mais la marque constituée de trois branches distinctes était bien là, sur votre corps. Comment ? Pourquoi ? Vous ne savez pas. Mais une chose est sûre, c'est que dans Fièvre Jaune, les mystères et danger de la ville créée par Lovecraft se dresseront sur votre route.
Êtes-vous prêts à vous plonger dans la sombre Arkham de 1957 ?
Evénements
24/10/1957 Cauchemar collectif.
Evénement intermédiaire, inscriptions jusqu'au 09/06/2016 à 12h00. Vivez la plus terrible des expériences dans vos rêves, à plusieurs. Pour plus d'informations, consultez la catégorie événements !
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 [Event i] 24/10/1957 - Cauchemar collectif. - COLOMBE & EDWARD & BARRY

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Isaac Zachariasz
Isaac Zachariasz
Dans la nuit du 24 au 25 octobre 1957, de nombreux marqués vécurent un nouveau cauchemar. Un mauvais rêve plus que terrible que jamais, où la folie et la peur allaient s'emparer des pauvres victimes. Mais cette fois, quelque chose changeait, quelque chose était différent. En effet, certains marqués se retrouvaient alors dans le même songe, vivant côte à côte cette mésaventure sans savoir pourquoi ni comment tout cela arrivait.

Alors que l'irréel allait diriger les scènes, ces dernières développées par la peur et les phobies de chacun, personne n'était conscient que c'était un rêve, qu'en réalité, leurs corps étaient à la limite de la convulsion, dans leurs draps trempés par la sueur.

Les trois protagonistes étaient sur une chaise, une simple mais lourde chaise en bois, ils étaient l'un à côté de l'autre, en arc de cercle, face à une façade.

Dans l'obscurité, seuls étaient éclairées les personnages, et la façade, tout le reste n'était que néant, et n'avait de toute façon aucune importance, puisque tout les regards étaient dirigés vers ce mur, qui semblait composé de briques plus ou moins bien calées entre elles.

La faible lueur qui éclairait les endroits cités ci-dessus était jaunâtre, et des murmures cassaient la tête des rêveurs… Non, c'était en fait un chant, comme un chant d'opéra d'une voix soprano, qui venait de si loin que l'on ne comprenait, l'on ne distinguait aucun mot, mais on sentait quand même une détresse immense dans le cœur de la femme qui troublait déjà les pensées des victimes du mauvais rêve.

Les personnages pouvaient commencer à se regarder, à bouger leurs mains, leurs pieds, leurs têtes, mais difficilement, comme si ils étaient atteints d'une fatigue immense, et ils remarquaient un à un qu'ils était ensuite attachés à cette chaise, les avant-bras et les jambes – au niveau des mollets – étaient respectivement liés aux accoudoirs et aux pieds de la chaise par une épaisse corde.

Une corde qui suintait, qui était sale, puante, il en sortait des vers, comme si c'était du fruit pourri, et l'odeur pestilentielle empestait la pièce, donnant des envies de vomir, réellement.

Il commençait alors à couler un épais filet de liquide jaunâtre du mur, sortant des minuscules écarts qui séparaient les briques. Il tombait par terre, pour former une flaque d'un liquide visqueux et ambré. Au fur et à mesure qu'elle se formait, le liquide montait légèrement en hauteur, comme si une statue composée de ce fluide était en train d'être créée.

Une voix s'ajouta alors, au chant venu de si loin, elle était beaucoup plus grave, à la manière d'une voix masculine basse, elle résonnait, beaucoup plus proche, et disait :

«  Je ne porte pas de masque. »


C'est alors que toute la salle s'illumina de la même lumière ocre, elle la plupart reconnurent le théâtre d'Arkham, ils étaient positionnés sur la scène, dos aux sièges du public, et le reste du lieu était vide, bien que parfois on pouvait avoir l'impression, si on tournait la tête, que des silhouettes indiscernables étaient installées à certains endroits, spectatrices.

Dans la même foulée, la voix soprano avait arrêté de chanter, et semblait commencer à crier, mais si on n'y prêtait pas vraiment attention, on ne comprenait toujours pas ses dires, il fallait tendre l'oreille, mais encore fallait-il savoir vers quelle direction la tendre.








INFORMATIONS

Tour de jeu : Edward Warren -> Barry Fitz -> Colombe Turner -> MJ
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Edward Warren
Edward Warren
Edward paniquait. Il se répétait à lui même: "Qui m'a drogué ?". La haine se mélangeait à la peur et l'incompréhension. Il essaya de se défaire de ses liens, en bougeant frénétiquement ses avant-bras. L'expression de son visage laissait transparaître son état: sa mâchoire serrée faisait ressortir la saillance de ses muscles masséter, ses sourcils froncés accentuaient des rides qui apparaissaient comme des tranchées, une veine se dessinait sur son front et ses pupilles se dilataient à tel point qu'on eût pensé que ses yeux étaient de couleur noire.

Il essaya de se retourner pour apercevoir quelque chose, quelqu'un. Sa tête s'agitait dans tous les sens. Le chant, qui était devenu des cris, absorba son attention. Il ne pût s'empêcher d'essayer de trouver sa provenance et se concentra, tant bien que mal. Il tendit l'oreille en direction des coulisses et scruta du regard cet endroit.
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Barry Fitz
Barry Fitz
Barry ouvrit difficilement les yeux sur se qui semblait être une façade, un mur de brique. Engourdit,  il commença à reprendre ses esprits, écoutant inconsciemment le chant d'opéra qui lui était offert.  Il fermât et ouvrât ses yeux a plusieurs reprises avant de comprendre la situation dans laquelle il était.
Il contracta ses muscles et s'agita, tentant tant bien que mal de se libérer de ses liens, en vain. Il posa ensuite un regard stupéfait sur les cordes qui lui servaient de lien, ces cordes à moitiés pourries et gesticulante de vers vivants .

"Non mais c'est quoi ce bordel ! Libérez moi bande de-" il cessa alors de s'agiter à la vue de se qu'il se passait. Un liquide ocre commença a couler du mur, la flaque qui en découlait était étrange et semblait commencer à constituer quelque chose..  

Barry se sentait impuissant face à une telle scène, il était partagé entre peur et incompréhension, observant bouche béante se qu'il se passait en face de lui.

"Je ne porte pas de masque."

Ces mots retentir comme pour réveiller Barry perdu dans ses pensé et dans le flou de la situation. Il observa alors autour de lui, cherchant l'origine de cette voix. Ce n'est qu'à ce moment la que Barry vu qu'il n'était pas seul... Un homme et une femme était également ligoté avec lui, de parfaits inconnus à ses yeux. Il balaya à nouveau la pièce du regard, constatant alors qu'il était au théâtre et que des silhouettes semblait l'observer.

"Putain vous voulez quoi bordel ?! Je balancerais rien autant me tuer ! The knight si c'est toi tu peux aller te faire foutre de la part du Bouc !" Dit-il en remuant hargneusement sur sa chaise tournant frénétiquement la tête de droite a gauche pour essayer de voir le public dernière lui. Il se tourna alors vers les deux autre otages.
" Et vous dites quelques choses, une idée sur se qu'il se passe ?!"

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Colombe
Colombe
Tout n'était que néant dans la tête de la chanteuse. Sa vision était troublée, son ouïe confuse. Les secondes lui paraissaient des heures. Elle perdit toute notion de temps. Après quelques instants, la jeune femme battit des cils afin de reprendre un contrôle sur cette vision. Elle tourna la tête. Elle observait. Détaillait. Seule la peur animait son regard lent. Elle ne comprenait pas. Était-ce un rêve ? Était-ce... la réalité ? Où se trouvait-elle, pourquoi, comment..? Tant de questions se confondaient, rendant ainsi ses pensées agitées et incontrôlées.

Ses doigts s'agitèrent tandis que son regard se fit plus hâtif. Sa lucidité se réveilla pour laisser place à une panique certaine. Sa respiration s’accéléra et les battements de son cœur résonnaient. Paniquée, l'ouïe de la jeune femme ne prêtait attention à cette voix mélodieuse en fond. Elle s'agitait sur cette chaise. Chaise qu'elle n'avait choisie. Prise au piège. Elle reconnut cependant le théâtre. Elle connaissait cet endroit. Elle l'appréciait tant. C'était une seconde demeure pour elle. Mais tout semblait différent. Rien n'était plus comme avant.


Son regard se figea soudainement sur cette substance jaunâtre. Sa respiration se coupa. Le temps s'était comme arrêté. Elle observa la chose prendre forme tandis que son regard s’écarquillait au fil du spectacle qu'on lui imposait. Horrifiée, elle secoua la tête puis s'agita de nouveau dans l'espoir de défaire ces liens.


« Je ne porte pas de masque. »


Elle cessa toute manœuvre. Elle pâlit plus qu'elle ne l'était. Elle se mortifia. Livide. Des frissons parcouraient la chanteuse et, d'une voix tremblante, elle rétorqua.
« Pas... pas de masque ?... pas de masque ! » Elle ne fit que réciter les écrits de monsieur Robent. Elle marqua un temps puis chercha Camilla du regard, ou du moins, l'actrice qui l'incarnait. Elle rétorqua enfin. « M-monsieur... monsieur Robent..? Non... c'est un cauchemar ! Non..! Ce spectacle se doit d'être lyrique, non pas horrifique ! » Elle secoua la tête, espérant chasser ses visions cauchemardesques. La demoiselle, prise d'une panique incontrôlée, ne fit attention aux autres otages.
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Isaac Zachariasz
Isaac Zachariasz
Alors que les trois personnages paniquaient tour à tour, effrayés par la scène et par les cris de la soprano, la masse, au départ informe, de liquide jaunâtre commençait à prendre une forme distincte.
On pouvait deviner une silhouette humanoïde arriver à terme, comme vêtue d'une longue robe jaune, ne laissant dépasser ni pied, ni main.

Les victimes, toujours sur leurs chaises, étaient totalement impuissantes, et la création surnaturelle ambrée finit par se terminer. C'était belle et bien une grande silhouette humanoïde, d'au moins 2 mètres et cinquante centimètres qui leur faisait face, et on pouvait désormais observer son « visage » qui ressemblait à un simple masque blanc.

« Je ne porte pas de masque. »
retentit à nouveau dans le théâtre, et on savait maintenant à qui appartenait cette voix rauque : au monstre qui venait d'être créé.

Les cris de la soprano s’éclaircissaient par la même occasion, bien que l'on arrivait toujours pas à définir sa provenance, elle hurlait, à la mort :

« Pas de masque ?! Pas de masque ! »


La panique, la peur, la folie, et encore plus d'émotions négatives étaient présentes au sein de tous les cœurs et, alors que l'entité jaune commençait à matérialiser –on-ne-sait-comment- un long cimeterre dans sa main gauche et que l'espoir s'évadait des esprits, une ombre noire fit son entrée en scène, elle apparue proche de l'humanoïde ocre. Floutée comme si la faucheuse voulait cacher son identité, elle interrompit dans son élan le démon d'or qui venait de se munir de son arme, prêt à exécuter les prisonniers.

A ce moment-là, le temps se figea. En réalité, il ne s'arrêta pas vraiment, mais les liens qui liaient les condamnés à leurs chaises se brisèrent un à un, laissant ainsi une opportunité d'agir, ou presque. De même, l'épée de l'adversaire inconnue tomba à terre, brisée en plusieurs éclats.

Edward Warren fut libéré en premier, d'un coup sec, il avait été légèrement poussé en arrière, sans être renversé, comme si l'apparition de l'ombre noire avait créée une onde de choc, un souffle qui l'avait sauvé de ses liens.

Quelques secondes après, les cordes qui retenaient Barry Fitz cédèrent aussi, avec un peu moins d'entrain et de violence, mais le résultat était là.

Alors que le tour venait à Colombe Turner, seul un côté céda, son pied et sa main gauche étaient libres de mouvement, mais les liens droits restèrent en place, par malheur. La malchanceuse commençait déjà à tirer sur les liens restants, qui semblaient toujours un peu résistants.

Les deux êtres démoniaques se fixaient alors, avec un air de défi, bien que le jaune reculait de quelques pas.
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Edward Warren
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La scène était incompréhensible pour Edward. D'abord confus, il assistait sans vraiment réagir. Le bruit d'éclat de l'épée s'éclatant sur le sol le réveilla instantanément de sa léthargie. Il vit l'occasion de fuir, une porte vers la survie.

Il regarda alors autour de lui et vit les deux personnes qui partageaient la même épreuve que lui. Il n'avait jusqu'alors pas réellement remarqué leur présence à cause de la situation atypique. Il remarqua que la femme était toujours à moitié attachée contrairement aux deux hommes. Il porta alors son regard sur les deux entités surnaturelles. Un frisson parcourut son corps mais, voyant que ces deux "démons" ne faisaient pas attention au groupe, Edward s'élança pour attraper le morceau d'éclat d'épée le plus éloigné des deux êtres. Il voulait couper les liens de la jeune femme pour ensuite fuir.
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Barry Fitz
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Alors qu'il paniquait privé de tous mouvements, l'être ocre se mit à se mouvoir et un air de catastrophe envahit les lieux. Pris de peur et de panique Barry était tétanisé et ne bougeait pas un muscle, il restait la face observant avec une aire horrifier la créature s'approchant arme a la main.

C'est alors que les ténèbres pénétraient dans les lieux, mais elles étaient bien réelles cette fois-ci, un nuage noir à la forme humanoïde avait désarmé et engagé le combat avec le démon d'or... D'un coup les liens de Barry ses rompirent, mais il resta là sur sa chaise quelques secondes, il ne se rendaient pas compte qu'il était libre tellement il fut horrifié et captivé par le combat qui lui était offert. Au bout de cinq longues secondes il reprit ses esprits et se leva, il commença à se diriger vers la sortie.
"- On dégage vite c'est notre chance !" dit-il alors en tournant le visage vers les deux autres prisonniers.

C'est alors qu'il vit la jeune femme toujours à moitié prisonnière de ses liens, il couru vers et commença à essayer de défaire ses liens, cherchant au passage s'il portait son pistolet sur lui, il voulait s'en servir pour briser les liens d'une balle.
"-Pas d 'panique ! On va se tirer de là vous inquiéter pas"
Ces mots étaient plus destinés à sa propre personne, il voulait se rassurer, il était paniqué et apeuré... Barry ne voulait pas mourir ici.
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Colombe
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La jeune femme conservait ses paupières closes, espérant que ces visions cauchemardesques disparaissent de leur plein gré. Mais rien de tout cela n'arrivait. L'incompréhension et la peur hantaient l'esprit de la chanteuse. Elle osa observer les créatures de son regard stupéfait, détaillant ainsi leur forme, leur geste et surtout le duel. Tant de questions traversèrent son esprit troublé ; Que sont ces choses ? Pourquoi se battent-elles ? Que représentent-elles ? Pourquoi au théâtre ? Pourquoi la pièce de monsieur Robent ressemblait tant à ce cauchemar ?

Ses liens cessèrent.

Elle se redressa vivement et trébucha. Son regard horrifié se déposa sur sa seconde jambe et seconde main qui demeurèrent encore attachées.
« Ah..! Non ! Mon Dieu, c'est un cauchemar ! Aidez moi ! Je vous en prie, aidez moi ! » Sa voix demeurait tremblante. La demoiselle tentait d'ôter elle même les liens qui la retenaient tandis que son corps entier tremblait sous la peur et la panique. Sa respiration s’accélérait et son cœur battait fortement.

Son regard se déposa sur ceux qui daignaient enfin la secourir.

« Merci infiniment ! »


Dernière édition par Colombe le Jeu 16 Juin - 21:33, édité 1 fois
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Isaac Zachariasz
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Alors que Barry pouvait trouver son arme à feu, le spectre noir était toujours figé devant le démon d'or, qui lui se tourna vers Edward.
Le médecin urgentiste, à deux ou trois mètres de la créature se penchait pour attraper un morceau d'acier tranchant, mais il leva la tête et vit le spectre jaune qui le fixait, ou du moins en avait l'air.

L'entité supérieure tandis sa manche, qui ne laissait pas apparaître de main, vers Edward, et une voix résonna dans la tête de ce dernier.

« Mon enfant, je suis là pour vous rendre puissant, apporte moi ce fragment que tu ramasses, je te protégerai du Mal qui sévit en ces lieux, mais aussi ailleurs, plus jamais tu n'auras de monstres dans ton lit, plus jamais il n'y aura de monstres sur Terre. »

Alors que Edward était le seul à pouvoir entendre ses mots, le signe jaune se créa et s'illumina sur le torse de la créature qui lui parlait et qui, mystérieusement, paraissait désormais amicale au médecin. Pour lui, elle dégageait une aura de confiance suprême et son cœur fut complètement comblé par ses paroles. Il pouvait encore user de sa tête, mais tout était si étrange, confus, que son cerveau n'avait que très peu d'assurance face à son cœur et son âme.

Pendant ce temps-là, Barry et Colombe allaient briser les liens pourrissants dans quelques secondes, sans avoir obligatoirement besoin de l'usage de l'arme du mafieux, mais n'étaient pas réellement rassurés pour autant.
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Edward Warren
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Les mots de la créature résonnaient dans la tête d'Edward. Le médecin, qui était dans un état de stress intense, se sentit soudain apaisé, une sensation de bien-être emplit son corps et son âme. L'entité représentait désormais pour lui une figure forte et protectrice. Il vit, en la proposition du démon d'or, la promesse d'une sécurité certaine.

Edward ne réfléchissait plus. Il souriait, de soulagement, à l'idée de ne plus jamais avoir à affronter toutes ces choses que son esprit essayait, en vain, de comprendre, de leur donner un sens.

Son attitude craintive et tendue disparut, il devint calme et serein. Plus rien n'existait autour de lui, à part cet être qui lui inspirait tant de confiance; c'était la lumière dans la pénombre. Il avança, un pas après l'autre, sa main tendue, vers le spectre jaune. Il tenait le fragment, qu'il avait ramassé, et comptait le rendre à son propriétaire.
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Barry Fitz
Barry Fitz
Barry toujours stressé et agité se rendirent vite compte qu'il pourrait briser les liens de ces mains nues. Il se mit à la tache, maladroit, il mit quelques secondes à bien saisir la corde avant de la briser en tirant d'un coup sec de ses bras, il aida ensuite la jeune femme à se lever et la poussa en direction de la sortie.

"Vite il faut partir avant que cette chose nous attrape, et vous on se tire allez !" il tourna le visage vers l'homme proche du monstre jaune, ne comprenant pas vraiment ce qu'il faisait.

"-Passez devant je vous suis!" Dit-il à la jeune femme avant de dégainer son pistolet et de tirer quelques coups paniqués et direction du monstre. Tout en se dirigeant vers la sortie principale.
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Colombe
Colombe
La demoiselle, aidée par Barry, se défît des liens. Sa panique, sa peur et son stress furent également amoindris grâce à l'adrénaline qui s'emparait peu à peu d'elle. Il fallait sortir de ce cauchemar et au plus vite !

Son regard balaya le spectacle effroyable qui se dressait face à elle puis il s'arrêta sur l'homme hypnotisé. Bien qu'hésitante, la jeune femme courra en sa direction en même temps que Barry tira ses balles.

La chanteuse attrapa le poignet de l'homme, qu'il ait l'objet ou non, puis s'enfuit avec lui pour rejoindre Barry qui les couvrait.
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[Event i] 24/10/1957 - Cauchemar collectif. - COLOMBE & EDWARD & BARRY
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